dimanche 29 juillet 2007

Lettre aux terroristes

Chère Al-Qaeda,

Voilà quelques années déjà que je te suis à la une des quotidiens et je pensais comprendre un peu qu’elle était la nature de tes revendications. Tu en voulais beaucoup aux Américains et même si tu as exagéré un brin avec les avions dans les tours et tout, mes bribes de savoir en politique me permettent de lire dans ton acte terrible un certain message. Je ne l’excuse pas, remarque bien, mais je peux comprendre.

Malgré toute l’ampleur de mon ouverture d’esprit, ce que je ne comprends pas par exemple, c’est que tu t’attaques à nous, simples Montréalais. Ton geste demeure inexplicable et même les plus éminents politicologues ne se sont pas prononcés sur la chose. Pourquoi, par Allah, avoir détruit le Continental et le Barouf?

J’ai beaucoup réfléchi dans la dernière semaine et je ne vois que deux options possibles. D’abord, tu voulais terroriser les acteurs de renom, ceux-là même qui fréquentent le Continental. Pourtant, je m’explique mal ce que les acteurs de renom ont pu faire pour éveiller ta colère. La plupart sont bien gentils et ton geste aurait eu plus de portée si tu avais incendié le TNM ou le Rideau Vert. Donc, ce n’est probablement pas eux que tu visais avec ton attentat.

Il reste le Barouf. Le Barouf, c’est bien connu, est l’endroit que les Français en visite à Montréal fréquentent le plus. Tu en voulais aux Français de Montréal? Je t’entends sur ce point, car moi aussi je trouve qu’ils sont trop nombreux. Malheureusement pour toi, je crains qu’ils n’aient pas bien compris ton message et ils risquent de déménager dans d’autres bars de la rue St-Denis. Tout ça aura donc été pour rien. Je te conseille plutôt de viser quelques établissements de Rosemont-Petite-Patrie. J’habite près de Beaubien et il y a toujours plein de Français aux alentours. Si c’était bien ton intention de terroriser les Français de Montréal et que tu prends ma proposition en considération, tâche de ne pas abîmer notre résidence car nous avons désormais une télévision HD.

Et peut-être que ton geste n’était pas du tout dirigé contre les Hexagonaux. Ils sont tout de même sympathiques à l’occasion et ils contribuent activement à l’enrichissement de la langue québécoise. Alors, pourquoi cet attentat? Je ne vois qu’une seule et dernière explication : tu visais le Gymnase et tu as manqué ton coup. Si c’est le cas, tu n’es pas la seule à être déçue. Nous aurions même été plusieurs à applaudir ton geste.

Je termine cette lettre en te disant que faire des incendies, c’est pas correct. Néanmoins, si jamais tu te cherches d’autres cibles montréalaises, contacte-nous sur ce blogue : nous avons plusieurs endroits à te conseiller comme le site des Francofolies, les Tam-Tam ou bien le semi sous-sol où vivent les gars de Kaïn.

Continue ton bon travail,

Attrayan

vendredi 27 juillet 2007

Une soirée aux Francofolies

Ce soir, nous avons décidé de mettre le pied hors de notre domicile et de nous rendre aux Francofolies. Après tout, Qbanito offrait un spectacle gratuitement pour les badeaux sur la rue et nous n'allions surtout pas manquer ça: on l'a tellement vu à la télé l'été dernier, il nous fallait le voir en chair et en os... et peut-être en train.

Il nous faut toutefois mettre quelque chose au clair, disons nous la vérité entre six yeux: les Francofolies, c'est pas hot (et ce, même si Rock n'doudou s'acharneront à vous convaincre du contraire).

D'abord, arrivés un peu avant notre spectacle attendu, nous avons pu déambuler sur le site pendant que la grande fête d'ouverture se déroulait dans l'allégresse. Tendant l'oreille vers Daniel Boucher qui avait un public, pour une fois, nous avons préféré partir à la recherche d'autres spectacles plus intéressants, pour découvrir que toutes les scènes étaient désertes: aucun autre spectacle ne pouvait faire concurrence à ma gang de malades. Il était dorénavant 21h55 et Qbanito devait prendre la scène d'assaut dès 22h, il fallait faire vite et regagner notre scène.

Comme nous savions que l'équipe Spectra, qui organise les Francofolies et le festival de Jazz, notamment, avaient eu la bonne idée il y a quelques années d'aménager des voies de circulation piétonières sur les côtés de la grande foule, nous décidons d'utiliser celles-ci. Erreur! Cette année, leur accès est réservé à quelques personnes VIP triées sur le volet. Les VUP (Very Unimportant Person) doivent plutôt emprunter un itinéraire tracé dans les catacombres du centre commercial avoisinant. Et si parfois j'en beurre un peu épais lorsque je vous raconte des histoires, cette fois, je dis tout à fait vrai. J'aimerais que ce soit une blague, mais non, je n'invente rien. Il faut faire un détour absurdement interminable alors que des corridors VIP sont aménagés au profit de 4 personnes. Cette fois, j'étais en rogne.

Notre arrivée à Qbanito se fait donc à 22h05. Heureusement pour nous, le spectacle n'est pas commencé. 22h15, 22h30, toujours pas commencé. Le kiosque de renseignements nous informe qu'il faudra attendre que le grand spectacle se termine avant que Qbanito se pointe le bout du nez. Pour prendre son mal en patience, Attrayan attrape un pamphlet et commence à écumer la programmation pendant que je tire l'oreille du côté de la grande scène. Plus tôt, on y chantait une chanson en arabe. Cette fois, Marco Calliari chante une chanson italienne. Et nous attendons Qbanito, qui s'exprime à moitié en espagnol. Coudonc, sommes-nous bien aux FRANCOfolies ou sommes-nous plutôt au festival de Jazz? Attrayan, toujours dans la programmation, me fait remarquer un spectacle des Moquettes Coquettes avec notamment, Marco Calliari. Je regarde distraitement et voit plutôt un spectacle de Marjo avec... Marco Calliari! Voyons! Je l'aime bien, mais il ne chante même pas en français! C'est confirmé, nous ne sommes décidément pas aux FRANCOfolies mais bien aux MARCOfolies!

Finalement, avec tout ça, l'horloge indique qu'il est passé 23h et Qbanito n'est toujours pas monté sur les planches. Tant pis, alors. Nous quittons le site au son de Marco Calliari qui entonne Bella Ciao en rappel, sans avoir vu notre chanteur de reggaeton. On aurait du rester devant la télé.

mercredi 25 juillet 2007

Changement de vie

Il y a du nouveau dans nos vies. Dans ma vie, plus précisément. Dans la vie d'Attrayan de façon collatérale. Il y aura dorénavant l'avant elle et l'après elle.

Depuis qu'elle est dans ma vie, mon quotidien n'est plus le même. Je ne vois plus la vie comme avant. La vie me semble plus belle, plus lumineuse, plus riche. Je souris davantage. Je vois toutes les possibilités qui s'offrent à moi. Avec elle à mes côtés, j'ai enfin une raison de me lever le matin et d'entamer ma journée. Je pourrais passer des jours à me noyer dans ses yeux si clairs et si magnifiques. Je ne mange plus, je ne vis que d'amour et d'eau fraiche. Je ne vois plus les jours passer.

Vous l'aurez deviné, c'est aussi un peu à cause d'elle que je blogue moins. Avec elle, je prends conscience de tout ce qui me passait sous le nez pendant que j'étais à mon ordinateur et maintenant, avec elle, j'ai toujours l'impression de manquer quelque chose lorsque je prends le temps d'écrire un billet sur ce blogue. N'ayez crainte, je ne déserterai pas ce blogue pour autant maintenant qu'elle est dans ma vie: toutefois, vous savez ce que sont les amours naissants et la passion des débuts et vous excuserez mes absences prologées.

Dernièrement, je l'ai même présentée à quelques copains et la réaction est unanime: je suscite envie et jalousie. À chaque fois que quelqu'un entre dans notre demeure et la trouve chez nous, les gens sont ébahis et enthousiastes. Un ami a même dit qu'elle était plus belle que tout ce qu'il avait vu dans sa vie. Mon entourage comprend qu'elle est dans ma vie pour rester. À priori, je n'étais pas sûr de vouloir la laisser entrer dans mon quotidien et dans mon coeur, mais maintenant qu'elle y a fait sa place, elle y est pour de bon. J'imagine déjà des scènes avec mes petits enfants où elle est encore à mes côtés, pour le plus grand plaisir de la marmaille. Et Attrayan redoute le moment où lui et moi nous séparerons et où il devra apprendre à vivre sans elle.

Car oui, maintenant que j'ai acheté une télévision Haute-Définition, il est dorénavant impensable de revenir à la télévision standard. La vie en 16:9, y'a que ça de vrai!

lundi 16 juillet 2007

Soins d'urgence

ELLE - Bureau du dentiste bonjour!
MOI - J'ai besoin d'un rendez-vous d'urgence. Aujourd'hui, si possible.
ELLE - J'ai un trou à 15h30.
MOI - Je serai là.

Et c'est ainsi que j'ai revu ma dentiste pour une deuxième fois dans la même année (j'avais déjà relaté les événements entourant la première visite ici). Cette fois, une pression, qui était apparue sous ma machoire jeudi, s'était métamorphosée en véritable torture une fois samedi arrivé. J'ai su prendre mon mal en patience tout au long de la fin de semaine mais, en ce lundi matin, l'enfant en moi a pris le téléphone et est allé demander à l'aide.

Si on m'y avait trainé contre mon gré la dernière fois, c'est de mon propre chef que j'y ai mis les pieds cette fois: la preuve, j'y ai mis les pieds 30 minutes en avance. J'avais si hâte d'être libéré de ma douleur, si hâte de sortir de là tout sourire, libéré de mon enfer. J'avais hâte de revoir ma dentiste, éternel bourreau devenu aujourd'hui meilleure amie et salvatrice de mon existence. Grâce à elle, j'allais pouvoir dormir cette nuit.

ELLE - Alors comme ça, t'as mal quelque part?
MOI - Ouiiiiii. Au fond, dans la machoire. J'ai de la misère à ouvrir la bouche. Ma gencive est enflée. Pis ça saigne.
ELLE - Ah. Ça doit être un (insérez un nom compliqué de jargon de dentiste).
MOI - Sais pas. Ça fait mal au point de me réveiller la nuit dès que l'Advil cesse de faire effet.
ELLE - Des Advils? Voyons, c'est pas assez fort pour ce que tu as! Tu dois avoir vraiment mal!
MOI - Quand même...
ELLE - C'est tellement douloureux, un (nom compliqué de dentiste). Tu dois souffrir horriblement!
MOI (plein d'orgueuil) - Bof. Pas tant que ça.

Tout fier de m'être si peu plaint en fin de semaine, j'ouvre la bouche pour qu'elle puisse observer et confirmer ses doutes. Pendant qu'elle jette un coup d'oeil et que je souffre horriblement en ouvrant simplement la bouche, je repense à ce qu'elle a dit. Je suis hot. Je suis tough. Une bouffée de fierté m'envahit. On m'a confirmé que j'avais un truc vraiment souffrant et j'ai pu endurer. Je me sens comme Bruce Willis qui a une balle de fusil dans l'épaule et qui plonge un couteau dans sa propre plaie pour y retirer la balle, sans trop chigner. Je suis tellement résistant à la douleur. Je suis un homme, un vrai. Wow.

ELLE - C'est bien ce que je pensais, c'est un (nom compliqué de dentiste). Je vais te donner des antibiotiques et un anti-douleur plus fort.
MOI - Super!
ELLE - Mais avant, je vais te faire un petit traitement. C'est pas compliqué mais, je t'avertis, ce sera douloureux.
MOI - Pas de problème. La douleur, je connais ça et ça ne m'affecte pas. Emmène ton traitement, il me fait pas peur.
ELLE - Je vais utiliser cette seringue au bout plat pour me faufiler sous ta gencive et y envoyer de l'eau et du sel, question de bien nettoyer et enlever des morceaux de nourriture qui pourraient y être. C'est plus par précaution qu'autre chose, ce sera pas bien long.
MOI (la bouche déjà ouverte, plein de confiance) - Allons-y!

J'ai vu la seringue entrer dans ma bouche.
J'ai senti une immense douleur monter de ma bouche.
Tout mon corps s'est crispé.
Et le temps s'est arrêté.
Ce moment m'a semblé vouloir perdurer éternellement.

Ce n'est que lorsqu'elle a retiré sa seringue que j'ai pris conscience de ma naiveté. Par ses compliments, ma dentiste avait abaissé ma garde et s'était mise dans mes bonnes grâces. Elle avait acquis ma confiance en me manipulant, en profitant de ma faiblesse. Tout ça pour que je me laisse donner ce traitement affreusement souffrant sans méfiance. Et moi, tel un enfant, je m'étais laissé berner sans remarquer quoi que ce soit.

Encore traumatisé par ce qui venait de m'arriver, je me suis laissé reconduire à la porte, souffrant encore plus qu'à mon arrivée mais armé d'une prescription d'antibiotiques et de puissants anti-douleurs. Le pire était sûrement derrière moi.

dimanche 15 juillet 2007

Ménage en solo

Bon, aujourd’hui, devant vous, j’ose le dire. Je crois que Qu’àcelanEtienne sera d’accord avec mon assertion mais il se peut aussi que ce soit ici la fin d’une longue et éclatante amitié. Mais, je dois le dire haut et fort et rejoindre parmi vous ceux et celles qui vivez le même calvaire que moi.
Allez, je me lance : dans notre résidence, c’est moi qui fait office de femme de ménage. C’est moi qui fait le plus souvent la vaisselle, le ménage et le sortage de vidanges et de récupération. Qu’àcelanEtienne n’a jamais lavé d’armoire, n’a épousseté à peu près que la télévision et quand il se met vraiment au ménage, il se contente de faire sa chambre.

Attention détracteurs de Qu’àcelanEtienne! Détrompez-vous si vous croyez qu’il agit ainsi par négligence, il n’en est rien. C’est seulement le rapport qui s’est tranquillement établi dans notre résidence au cours des ans et nous avons beau nous séparer les tâches, je me retrouve toujours à faire la part qui ne me revient pas. C’est ainsi et c’est une dynamique imperturbable. La question qui demeure est pourquoi? Comment expliquer ce laisser-aller insalubre?

J’ai finalement compris, alors que tel une Cendrillon au prise au plus profond désespoir je lavais les pots de plastiques plein de bouffe pourrie des lunchs de Qu’àcelanEtienne. Oui, j’ai compris que mon acolyte avait une plus grande tolérance à la saleté que moi. Comme le plongeur qui a moins de souffle et qui doit remonter plus souvent que son collègue à la surface, mon besoin d’assainissement me force à faire le ménage plus souvent. Qu’àcelanEtienne est comme une sorte de Cousteau du manque d’hygiène. Dans le Grand Bleu, il serait Jean Reno.

Force est d’admettre que j’ai aujourd’hui perdu tout espoir de voir la situation changer. Cette attitude est si profondément ancrée en Qu’àcelanEtienne que ça lui prendrait une modification génétique. Mais comme la greffe d’ADN n’est pas encore très courante, je vais devoir prendre mon mal en patience et continuer à faire cavalier seul dans le torchage.

Je vous laisse, je dois aller ramasser la vaisselle de son petit déjeuner.

vendredi 13 juillet 2007

L'été

Voilà déjà une semaine sans bloguer, une semaine sans bulletins de notre part. Parfois, l'envie prend d'écrire tout plein de trucs dans la même journée. Parfois aussi, l'envie nous quitte et on doit s'éloigner de l'ordinateur un peu, question que l'envie revienne. Parfois, ce sera le temps qui manquera, coincé entre les obligations familiales, le festival Fantasia, les événements hors de notre contrôle et l'écoute en rafale de Deadwood ou Carnival. Parfois, ce sera aussi la paresse, simplement. Si on vous délaisse momentanément, on ne vous oublie quand même pas, on ne vous abandonne pas. Fermer ce blogue? Pas pour tout de suite.

En attendant un retour glorieux, voici cinq petites pensées...

1. On the lot est vraiment notre émission préférée de l'été. Zach Lipovsky a pratiquement atteint le statut de demi-dieu dans notre résidence.
2. On a vu une avant-première de Hairspray au cinéma. On est sortis de là avec un immense sourire et une formidable envie de danser. À voir, particulièrement pour ceux qui considèrent que l'esprit de Grease est disparu trop rapidement des salles de cinéma. Ou pour ceux amusés par l'idée de voir John Travolta en grosse femme pendant 2 heures.
3. America's got talent n'a plus le charme de l'an passé on dirait. Jerry n'a pas la naïveté nécessaire et Sharon Osbourne est un peu gossante. Dommage.
4. J'ai acheté un adaptateur de ma guitare de Guitar Hero II sur playstation2 pour jouer sur le playstation3 d'Attrayan, mais ça marche pas. Si quelqu'un connait une façon pour que ça marche et me la confie, je promets de faire du gros lobbying pour son nom pour un prix Nobel.
5. Y'a que nous qui croient que cette histoire de suite à Chambres en ville est une bien mauvaise idée? Comment ils vont expliquer que Pete Béliveau sorte maintenant avec Boucar Diouf? Comment expliqueront-ils que Caroline Béliveau (Marie-Josée Croze) aie maintenant un accent français? Et que Lola aie ces immenses seins en balons? Et Grégory Charles, il va faire quoi? Pas encore juste jouer du piano? Et ils vont quand même pas faire Marie-Soleil Tougas en CGI?

vendredi 6 juillet 2007

Terreur sur la rue Henri-Julien

Il y a un fléau extrêmement grave qui nous accable en ce moment et il est de mon avis que nous n’en parlons pas assez. Je ne parle pas ici du longicorne d’Asie ou des conflits multiples qui criblent le Moyen-Orient ou encore de cette mode dépassée qu’est le braquage de banques (quoiqu’il n’y a plus rien qui me surprenne qui vienne de Longueuil). Les plus perspicaces d’entre-vous l’auront certainement deviné, je parle plutôt du cr%?$*&?@*&?%$ de vol de bacs verts.

Le vol de bacs verts sévit à Montréal comme nulle part ailleurs. En allant m’en procurer un nouveau, ayant été moi-même une victime de ce recel récupératif, je fus informé par le gentil petit fonctionnaire que 40% des nouvelles demandes de bac vert étaient faites par des victimes de vols.

Pour l’amour du Saint-Sacrement, comment peut-on justifier un vol de bac quand l’on sait que ça prend 5 min. aller s’en procurer un nouveau? Le gentil petit fonctionnaire pensait, lui, que ce sont surtout des mécréants qui cultivent des substances illicites à l’intérieur de leur logis et qui ont besoin de gros bacs de terre. Ma propre théorie est plus simpliste: il y a un réseau underground de trafic de bacs verts qui se revendent dans des pays d’Asie du Sud-Est, ou encore, Montréal abrite une bande d’épais qui pensent que le civisme, c’est l’art de conduire une Civic.

Bref, le mystère demeure entier et probablement le restera-t-il encore pour plusieurs générations. Priver quelqu’un d’un bien qui sert la collectivité et qui sert l’environnement, ça va être long avant qu’on puisse justifier un acte pareil.

mardi 3 juillet 2007

Un vidéo éducatif

On nous demande souvent comment devenir un vieux garçon ou une vieille fille. Lorsqu'Andrée-Anne s'est à son tour tournée vers nous pour profiter de notre expertise, nous avons décidé de produire un vidéo rempli de judicieux conseils afin que tous et toutes puissent en profiter.

Lecteurs avides d'apprentissage, à vos papiers et crayons!

dimanche 1 juillet 2007

Notre 200e post!

Et oui, voilà notre 200ème post et y a-t-il plus belle occasion de fêter la chose que le jour même de l'anniversaire de notre beau et grand pays. Frères canadiens et soeurs canadiennes, célébrons dans une liesse commune ce jour historique qui souligne nos plus brillants exploits. Allez, brandissons fièrement notre unifolié et ensemble, unissons-nous en un set carré symbolique s'étendant d'un océan à l'autre.

Merci à cette terre accueillante que nos aieux, le front ceint de fleurons glorieux, ont su faire prospérer de par l'épée et de par la croix en assujetissant des vilains Chinois et en égorgeant des sales Peaux Rouges.

Merci lecteurs et lectrices fidèles, merci blogger.com, merci Calixa Lavallée et merci Canada!